Danser avec Saphyr
Beaucoup de monde, le club était bondé.
Une fois n'est pas coutume nous avons attendu pour commencer une séance que les couples qui avaient un petit creux se restaurent en bas pour profiter de l'étage. ..
Après une pause deux séances de fouet qui pour le coup se sont déroulées en bas; la première sur la piste avec une partenaire que je connais un peu pour avoir déjà eu l'occasion de l'enrouler dans mon fouet. Une séance relativement courte mais suffisamment forte pour nous laisser de bons souvenirs et à elle de belles marques. Merci à Maître Mark qui bien qu'il sache que Saphyr en veut toujours plus , me laisse gérer la séance en confiance. Il n est jamais très loin et je reste attentif pour arrêté s'il le souhaite. Saphyr merci pour ce très bel échange....
La barre, Léa le fouet et moi ...
un verre, un peu de repos et ce que j'avais dans ma tête depuis le début de la soirée va se concrétiser là en bas. Les points de suspension étant tous pris dans la grande salle du haut où il y a trop de monde pour ce que je souhaite, JDuroc décide de créer un point de suspension sur la barre du pole danse. Lea sa soumise, nue sur l estrade, y sera attachée bras en l'air, les poignets passés dans des bracelets.
Pendant que je commence à préparer Léa ; je lui dis quelques mots pour la mettre en condition et l'aider à rentrer dans sa bulle. JDuroc ,un peu à l'écart vers le fond de la salle, entreprend un bondage dont il a le secret sur Siham. Ses cordes s'enroulent et se nouent sur le corps immobilisé et proche de la transe, Siham se laisse aller dans les cordes .
De mon côté la séance a commencé. J ai prévu un séance longue pour laisser à Léa le temps de s'habituer au fouet. De la piste en bas je l' enroule. Son corps commence à se balancer de droite et de gauche par rapport à la barre, au rythme de mon fouet et de la musique. Au bout d'un moment les endorphines entrent en jeu et le rictus des premiers coups de fouet un peu appuyés a complètement disparu de la lèvre inférieure de Léa Je commence à danser autour de mon "esclave" du moment... montant moi aussi sur l'estrade pour nous enrouler dans le fouet la barre Léa et moi. De l'ongle je caresse son dos pendant que le fouet continue son jeu lancinant autour de ses anches. Je la laisse un peu souffler pour reprendre de plus belle. Descendu de l'estrade je m' éloigne un peu pour accélérer le fouet et le faire claquer sur la peau blanche et douce de ma belle attachée qui se livre tout entière, lâchant enfin quelque cris retenus au fond d'elle même ; c est eux que je veux entendre, ces cris de lâcher prise
La douleur rendue supportable par la libération de petites doses d'endorphines. D' un bon je me retrouve à nouveau contre ma "proie" pour bien vérifier où elle en est.. je la sens tremblante mais elle n'a pas froid. Je décide de continuer doucement autour des fesses et du haut des cuisses changeant de bras pour limiter les temps d arrêt. Puis le fouet serre sa cage thoracique et l empêche de crier....cela suffit. Ayant jeté mon fouet je monte et l aide à se défaire des bracelets. L'enserrant dans mes bras elle se laisse porter et se balance doucement avec moi. Nous descendons et comme je la sens partir, je la porte dans mes bras jusqu'à un canapé et la garde quelques minutes contre moi le temps pour elle de revenir doucement a la realite.
Bien que toutes les séances au fouet soient différentes , celle si me laisse un souvenir de communion très intense.
merci à vous deux JDuroc et Léa.
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